/// Solo clownesque - Tout public à partir de 8/10 ans, 1h.  

Création 2017 - Tournée : 2017-2019


/// PROPOS : 

Les histoires d'amour, au théâtre, c'est comme les patates : il y en a de toutes sortes et tout dépend de la façon dont elles sont cuisinées. C'est ce que va découvrir Jo, oublié au fond d’un théâtre et qui parvient enfin à se glisser sur le plateau. Là, il reçoit de plein fouet textes et fantômes qui hantent cet espace aux limites à la fois précises et imaginaires. Mais attention, les coups de théâtre, « ça fait super mal ! ».

Après des années à mener son clown Jo sur tous les terrains, Jean Quiclet le revisite pour le mettre en scène, au cœur du plateau, et le confronter à son amour du théâtre, à l'exigence de la scène et aux textes. 

/// DOSSIER ARTISTIQUE

/// ÉQUIPE ARTISTIQUE :

Ecriture / Jean Quiclet et Marie Paule Guillet
Mise en scène / Marie Paule Guillet
Création sonore et lumière / Nicolas Prigent
Costume / Sophie Hoarau
Regard clown et dramaturgie / Alain Gautré

/// TEASER

/// PRODUCTION : Jo Coop Cie

• Soutiens financiers : Conseil départemental du Morbihan / TRIO…S - scène de territoire pour les arts du cirque – Hennebont-Inzinzac-Lochrist / Théâtre du Sable (la Verrière, 78) / Saint-Quentin en Yvelines / Mil Tamm (Pays de Pontivy, 56).

• Soutiens : Ville de Lorient, Salle Jean-Vilar (Lanester), La Quincaille (Poullaouen). 

/// PRESSE

____PALPITANT
Sorties de Secours, novembre 2017

Une chose semble évidente : le cœur de « Théâtre Forever » est palpitant, vibrant, exalté, enthousiaste, passionné et très amoureux. C’est cette couleur amoureuse qui fait à nos yeux l’essence de cette proposition où se lit et se dit l’amour des planches, de la scène, des coulisses et des accessoires du théâtre, mais aussi, et surtout, celui des grands textes classiques, de Molière à Corneille, de Feydeau à Shakespeare, du Splendid à Calaferte…  Perruque noire de philosophe ridicule, il réinvente les grands tragédiens, les figures mythiques, les cabotins, comme si le théâtre se moquait de lui-même par cette figure outrancière, mais aussi comme si Quiclet se regardait par en dessus, comédien partagé depuis toujours entre le burlesque et le classique, clown timide n’osant s’attaquer au «sérieux». Mais c’est ailleurs que nous, nous avons vraiment vibré : au centre même du spectacle où se situe la plus belle scène de cette histoire d’amour. Un long monologue fait de fragments de tirades, d’extraits de grands textes que l’on reconnaît parfois, d’autres pas, comme des papiers déchirés, des lambeaux de peau, des poussières dans la lumière, que l’on chope au vol, parfois si courts que l’on n’en a pas le temps, et qui créent une trame sonore, familière et délicieuse. Un subtil jeu schizophrénique entre le clown et le comédien, où dans le même temps se lit le langage burlesque du corps et l’incarnation intense de grands textes classiques.   


___UN SPECTACLE POUR PETITS ET GRANDS
Lorient - le Télégramme, mai 2018

C'est un spectacle à double lecture que propose « Théâtre forever ». La première parlera aux enfants, avec une composition burlesque emmenée par un clown, interprété par Jean Quiclet, qui se retrouve enfermé dans un théâtre et va dialoguer avec les symboles du théâtre : entrées et sorties, cour et jardin, marques de plateau, servante lumineuse, flight case de matériel, etc.(...) La seconde lecture s'adresse aux adultes, qui s'amuseront à croquer les références au théâtre, mais aussi à reconnaître les extraits de pièces de grands auteurs que le comédien prend plaisir à déclamer ou jouer, dans des interprétations contrastées.   


___ENTRE CLOWN ET PENSEUR
Inzinzac-Lochrist - Le Télégramme, octobre 2017

Un clown-comédien, qui va jouer avec tous les codes du théâtre, entre sérieux et burlesque. A la manière de « Une nuit au musée », Quiclet se laisse enfermer dans un théâtre pour une relecture des fondamentaux du théâtre. Traité façon cartoon, avec effets sonores, bruitages, et gags, le spectacle bascule en son centre dans le texte pur, où le comédien s'autorise à dire les grands auteurs dans des extraits qui fusent comme des étoiles filantes sur le noir du rideau de velours.


Photo : Jean Henry